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Trois nouvelles infractions détectées par les radars automatiques en 2025

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Jennifer P.

Diplômé d'un master 2 en droit privé.
Sous la direction de Me. Shalabi avocat en droit pénal et routier.

Mis à jour le :

⚠️ Radars automatiques 2025 : ce qui change

  • Trois nouvelles infractions désormais contrôlées par l’IA.
  • Preuves photo/vidéo horodatées et analyse automatisée.
  • Sanctions possibles : amende, retrait de points, suspension.
  • Recours : demande d’images, contestation, vices de procédure.

En 2025, trois nouvelles infractions routières seront désormais automatiquement détectées par les radars, renforçant le contrôle automatisé sur les conducteurs. Cette évolution s’inscrit dans une logique de surveillance accrue et suscite de nombreuses réactions chez les usagers de la route.

Des radars de plus en plus présents et performants

Avec la généralisation des radars automatiques en 2025, la liste des comportements sanctionnés s’allonge. Selon les récentes annonces relayées dans les médias spécialisés, la verbalisation automatique ne concernera plus uniquement la vitesse ou le non-respect du feu rouge, mais s’étendra à de nouvelles infractions. Ces dispositifs s’appuient sur des technologies avancées pour détecter des fautes auparavant difficilement sanctionnables sans contrôle humain direct.

Cette extension soulève des questions sur la finalité des radars : sont-ils réellement au service de la sécurité routière ou deviennent-ils un impôt indirect pour les automobilistes ? Pour les usagers, il devient essentiel de connaître leurs droits et les démarches pour contester une amende en cas de flash injustifié.

Face à la multiplication des infractions détectées automatiquement, informez-vous sur les recours disponibles et restez vigilant quant aux évolutions de la réglementation.

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Ce qui change / l’essentiel

Trois nouvelles infractions automatisées dès 2025

En 2025, le dispositif de verbalisation routière évolue avec la détection automatique de trois nouvelles infractions par les radars. Cette évolution vise à renforcer la surveillance du comportement des conducteurs et à limiter les manquements jusque-là difficiles à sanctionner sans présence policière.

Des comportements ciblés et une répression accrue

Les nouvelles infractions concernées par le flash automatique pourraient inclure, par exemple, le non-port de la ceinture de sécurité, l’usage du téléphone au volant ou le non-respect des distances de sécurité. L’objectif affiché est d’améliorer la sécurité routière par une approche systématique, mais ce déploiement questionne sur l’équilibre entre prévention et répression.

Qui est concerné ?

Tous les automobilistes sous le contrôle des radars

Tout conducteur circulant sur le réseau routier équipé de radars automatiques pourra être concerné par ces nouvelles verbalisations. La diversité des lieux d’installation – axes urbains, routes départementales ou autoroutes – élargit considérablement le champ d’application.

Une attention particulière aux conducteurs réguliers

Les usagers parcourant quotidiennement les mêmes axes seront particulièrement exposés. Pour eux, il est essentiel de se tenir informé des évolutions réglementaires afin d’éviter une accumulation d’amendes, parfois contestables si le dispositif technique présente des défaillances.

Textes officiels & cadre légal

L’arsenal juridique des radars en 2025

Le fondement de ces nouvelles verbalisations s’appuie sur le Code de la route, notamment les articles L121-3, R412-1 et suivants. Ces textes encadrent la constatation automatisée des infractions par dispositifs homologués, avec des règles strictes quant à la fiabilité de la preuve et les droits du titulaire du certificat d’immatriculation.

Droits de recours et procédures

Tout contrevenant bénéficie du droit de contester une amende reçue à la suite d’un flash. Les modalités de contestation, les délais et les formulaires à utiliser sont fixés par le Code de procédure pénale (notamment articles 529-2 et 530), permettant aux usagers d’exercer un recours en cas d’erreur ou de désaccord avec la verbalisation.

Thème Réponse
Objet Gestion des contraventions routières (amendes, points, désignation)
Texte officiel Code de la route (L121-6, R121-3), CPP art. 529-2/530
Montant amende forfaitaire 68 € à 135 € selon infraction
Retrait de points 1 à 6 points selon la gravité
Délai de contestation 45 jours (amende simple), 30 jours (majorée)
Procédure En ligne ANTAI ou lettre recommandée à l’OMP
Risques en cas d’inaction Amende majorée, suspension du permis, poursuites

Cas pratiques & exemples

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Illustrations concrètes des infractions détectées

Depuis 2025, de nombreux automobilistes rapportent avoir été flashés pour des comportements non détectés auparavant par les radars. Par exemple, un conducteur circulant sans ceinture ou utilisant son téléphone pourra recevoir une contravention à domicile, sans interception sur place.

Situations fréquentes sur les routes françaises

Les axes urbains équipés de radars de nouvelle génération deviennent des points de vigilance. Les récits de verbalisation pour non-respect des distances de sécurité ou pour non-port de la ceinture se multiplient, soulignant l’importance de l’information et de la prudence pour chaque trajet.

Sanctions & risques

Montants des amendes et pertes de points applicables

Les infractions détectées automatiquement exposent à des sanctions prévues par le Code de la route. Par exemple, le non-port de la ceinture de sécurité entraîne une amende forfaitaire de 135 euros et un retrait de 3 points sur le permis, conformément à l’article R412-1.

Accumulation de points et risques de suspension

La multiplication des flashs peut entraîner une perte rapide de points, surtout pour les conducteurs habitués à emprunter les mêmes trajets quotidiens. Un solde insuffisant de points peut conduire à l’invalidation du permis et à des complications administratives importantes.

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Droits & recours (contestations)

Procédure de contestation d’une verbalisation automatique

Tout conducteur a le droit de contester une amende reçue à la suite d’un flash automatique. Il convient de respecter les délais légaux et d’utiliser les formulaires spécifiques prévus par les articles 529-2 et 530 du Code de procédure pénale, en joignant toute preuve utile (photo, attestation, etc.).

Accompagnement et outils pour défendre ses droits

La contestation peut se faire en ligne ou par courrier, selon la procédure indiquée sur l’avis de contravention. Il est recommandé de vérifier la conformité de l’infraction, la fiabilité du radar et d’exercer ses droits pour éviter une sanction injustifiée.

Conseils opérationnels (à faire / à éviter)

Maîtriser les bonnes pratiques pour éviter les erreurs

Les conducteurs comme les gestionnaires doivent adopter des gestes simples pour limiter les risques d’infractions routières et optimiser la gestion administrative des amendes. La connaissance des délais de contestation et des éléments à vérifier sur l’avis est essentielle pour sécuriser sa démarche.

  • Vérifier systématiquement les mentions obligatoires sur l’avis d’infraction avant tout paiement ou contestation.
  • Ne jamais ignorer un courrier de l’OMP : en cas de doute sur la procédure ou de contestation, agir rapidement.
  • Respecter le délai de contestation : 45 jours pour une amende forfaitaire, 30 jours pour une amende majorée.
  • Éviter d’utiliser le paiement partiel comme mode de contestation : seul un dossier complet (avec pièces justificatives) est valable.

Les erreurs courantes à éviter lors des démarches

Des oublis ou approximations dans la transmission d’informations à l’ANTAI ou dans les déclarations de conducteur peuvent entraîner des refus de recours. Une mauvaise gestion des courriers recommandés ou des délais peut également générer des majorations automatiques.

  • Omettre d’indiquer l’identité complète du conducteur réel lors de la désignation.
  • Contester hors délais : cela expose à une amende majorée sans possibilité de recours gracieux.
  • Ignorer les étapes de la procédure dématérialisée (site officiel ANTAI ou courrier recommandé).

Impacts pour les pros (flottes, RH)

Les enjeux spécifiques à la gestion de flotte automobile

Pour les entreprises, la gestion des infractions implique des responsabilités supplémentaires, notamment en matière de désignation du conducteur et de suivi administratif. Les erreurs peuvent avoir des conséquences financières importantes pour l’entreprise et le salarié.

  • Mise en place de procédures internes pour la désignation rapide et correcte du salarié conducteur.
  • Centralisation et archivage des avis de contravention pour répondre aux contrôles de l’administration.
  • Formation des salariés à la réglementation (perte de points, délais, obligations).

Risques RH et conséquences sur la mobilité professionnelle

L’absence de politique claire expose l’entreprise à une amende pour non-désignation (art. L121-6 du Code de la route) et à des tensions avec les salariés (contestation, suspension de permis, litiges disciplinaires). Les erreurs de procédure peuvent peser sur le climat social et la mobilité interne.

  • Risques de sanctions internes pour non-respect du protocole de gestion des contraventions.
  • Possibilité de suspension temporaire de permis pour des conducteurs réguliers, impactant la continuité de service.

Délais & procédure (pas-à-pas)

Respecter chaque étape pour sécuriser son dossier

La gestion d’une contravention repose sur le strict respect des délais et des formalités prévues par le Code de procédure pénale. Une procédure bien suivie limite les risques de majoration et maximise les chances de succès en cas de contestation.

  1. Réception de l’avis d’infraction : contrôler la date et les éléments.
  2. Décider : payer (tarif minoré possible) ou contester sous 45 jours (30 jours si amende majorée).
  3. Rassembler les pièces nécessaires (photo radar, formulaire de requête, justificatifs).
  4. Envoyer la contestation via le portail ANTAI ou par lettre recommandée à l’OMP compétent.
  5. Attendre la réponse ou la relance de l’administration ; suivre le dossier en ligne.

Comprendre les suites administratives et judiciaires possibles

En cas de rejet de la contestation, une citation devant le juge peut être prononcée. À chaque étape, les délais sont impératifs et une réponse tardive implique l’irrecevabilité de la requête ou l’application d’une amende majorée.

  • La procédure accélérée permet d’éviter l’enlisement, mais nécessite réactivité et traçabilité.
  • Après une décision de justice, seul un recours hiérarchique ou une demande de remise gracieuse reste envisageable.

Questions fréquentes du terrain

Que faire si l’avis d’infraction n’arrive pas ?

Il convient de vérifier l’adresse auprès des organismes compétents et de surveiller les courriers recommandés en instance. Passé un certain délai, un avis de majoration peut arriver sans avoir reçu l’avis initial. Dans ce cas, il est possible de demander une copie à l’administration et de formuler une requête expliquant la non-réception, tout en respectant les délai de contestation réglementaires.

Peut-on contester une amende en ligne ?

Oui, la majorité des amendes (hors cas complexes) peuvent être contestées via le portail officiel de l’ANTAI. Il faut alors remplir le formulaire, joindre les pièces nécessaires (preuve, désignation, etc.) et attendre la confirmation de prise en charge. Ce mode de contestation permet un suivi rapide et traçable du dossier.

Erreurs courantes à éviter

  • Ne pas joindre tous les justificatifs lors d’une contestation : cela ralentit ou invalide la procédure.
  • Envoyer un dossier incomplet ou illisible à l’OMP.
  • Payer partiellement une amende en croyant contester automatiquement.
  • Ignorer l’obligation de désignation pour les personnes morales (entreprises, associations).
  • Confondre les délais entre amende forfaitaire et amende majorée.

Check-list rapide

  • Contrôler la réception des courriers officiels et les conserver.
  • Vérifier que toutes les informations (nom, date, infraction) figurent correctement sur l’avis.
  • Respecter strictement les délai de paiement ou de contestation (45 jours/30 jours).
  • Joindre tous les justificatifs utiles lors de la contestation.
  • Pour les pros : désigner le conducteur sans délai en cas de véhicule d’entreprise.

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Quels sont les délais à respecter pour contester une amende routière ?

Après réception de l’avis d’infraction, vous disposez de 45 jours pour contester une amende forfaitaire et de 30 jours pour une amende majorée. Ces délais sont impératifs, toute contestation hors de ces limites est en principe irrecevable par l’OMP ou l’administration compétente.

Quels documents fournir pour une contestation efficace ?

Une requête recevable doit être accompagnée d’une copie de l’avis, d’un justificatif d’identité, du formulaire de contestation complété et de tout document prouvant votre bonne foi (preuve de non-conduite, photo radar, etc.). Une préparation rigoureuse augmente vos chances d’obtenir gain de cause.

Quels sont les risques en cas de non-désignation d’un conducteur par une entreprise ?

Pour les personnes morales, la non-désignation du conducteur réel expose à une amende spécifique (art. L121-6 du Code de la route), en plus du montant initial. Les sociétés doivent donc mettre en place des procédures internes précises pour identifier et déclarer chaque conducteur impliqué.

Existe-t-il des outils pour estimer les pertes de points ou simuler une contestation ?

Oui, il est possible d’utiliser des outils en ligne pour simuler le risque de perte de points ou pour anticiper les suites d’une démarche de contestation. Vous pouvez consulter un simulateur de perte de points afin de visualiser rapidement les impacts d’une infraction sur votre permis.

Quelles sont les étapes à suivre après une contestation adressée à l’OMP ?

Une fois la contestation envoyée (en ligne ou par courrier recommandé), l’OMP examine votre dossier et peut décider du classement sans suite, du maintien de l’amende ou de la transmission à la juridiction de proximité. Un suivi rigoureux et le respect des notifications sont indispensables pour garantir vos droits tout au long de la procédure.

En vous appropriant ces démarches et précautions, vous sécurisez la gestion de vos contraventions et optimisez vos droits en tant que conducteur ou responsable de flotte. L’application rigoureuse des procédures permet d’éviter bien des écueils et de limiter les conséquences financières ou administratives.

La compréhension fine des délais, des obligations légales et des outils à disposition reste une force majeure pour gagner en sérénité face aux avis d’infraction. S’informer, anticiper et agir méthodiquement, c’est protéger son permis comme sa tranquillité d’esprit.

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